Omoi in the place !

Invité

~Personnage~

Nom: ???
Prénom: Omoi
Age: 18
Description Mentale:(environ 5 lignes)
Derrière une apparence désinvolte, se cache un ninja en réflexion permanente. Omoi peut passer plus de 5 minutes à se demander si il aurait mieux fait de mettre les fumigènes dans sa poche gauche plutôt qu'un shuriken et une bobine de fil. Le choix d'un menu au restaurant peut lui prendre près d'une heure. Omoi analyse tout, de la décision politique de la plus haute importance à l'envol d'un moineau sur une branche d'arbre.
Le garçon se sent de surcroit obligé de dire la vérité en toute circonstance, quitte à vexer son interlocuteur. Il s'est d'ailleurs fait tabasser plusieurs fois par ses petites amies suite à une
Description Physique:(environ 5 lignes) Un joli garçon. C'est du moins ce qu'Omoi a toujours entendu dire de lui par la gente féminine, toute générations confondues. Du haut de son mètre soixante-dix-huit, Omoi n'est pas ce que l'on apelle un géant. Ses soixante-treize kilos en font un individu mince et quoiqu'assez athlétique.
Sa peau mat, bronzée par le soleil froid des montagnes de Kaminari no Kuni s'accorde parfaitement à une grande paire d'yeux noisettes. Son nez droit soutient généralement une paire de lunette de soleil qui contribuent à lui donner un air mystérieux et désinvolte, celui du mec cool par execellence.
Chose étonnante, ses cheveux ont blanchis prématurément, sans raison particulière; sucitant la curiosité de la plupart de ses interlocuteurs... et mêmes adversaires!

Histoire:(environ 10 lignes) Je suis Omoi...Omoi. Vous captez? Ne me demandez pas comme ça s'écrit, je ne suis pas un expert en orthographe, ni un de ces types qui vous apprennent à écrire. J'ai 18 ans, et quelques mois et pas grand chose derrière moi, enfin pour un ninja! Comme les aînés du village le disent souvent de leur toute petite vieille voix tremblotante qui menace de lâcher à tout moment, "L'histoire d'un ninja est différente de celle de beaucoup d'autres! La véritable histoire commence là où le bonheur prend fin!". Ma véritable histoire à moi a commencé il y a longtemps. J'étais jeune à l'époque, je ne savais même pas prononcer un seul mot ni même voir le monde d'un œil soit-disant "correct". Vous l'aurez certainement deviné, mon histoire commença alors que je ne venais qu'à peine de naître...ou peut-être pas!

Je ne pourrais pas vous dire tout sur les circonstances de ma naissance. Désolé mais je ne connais pas à l'heure actuelle de nourrissons qui pourraient garder une idée nette de leur naissance, et je ne fais malheureusement pas exception à la règle! Je ne suis qu'un humain après tout, animal bipède quoi! Tout ce que je sais, c'est que mes parents m'ont soit abandonné, soit ont été tués...depuis des lustres déjà, j'en ai bien l'impression. Les premières images de ma jeune vie remontent à l'orphelinat d'Aji, un petit village du pays de la Foudre, à quelques parcelles de mon village Natal, Kumo. Je devais avoir l'âge d'une souris en fin de vie, pas plus. Impossible de vous dire quoi que ce soit à ce sujet à moins de vous mentir, à vous de voir. Encore une fois, je sais que j'ai gaspillé les cinq premières années de ma vie interné dans un orphelinat et les quelques maigres souvenirs que j'en garde ne sont pas tout joyeux, mais je ne vais pas me mettre à chialer tout de suite, ce ne serait pas amusant. A un moment donné, ils ont jugé que j'étais assez vieux pour être en mesure de pouvoir me débrouiller tout seul, comme un grand en gros! Imaginez une seule seconde un lambin de cinq ans mis à la porte, visage face au monde extérieur et peut-être que vous vous ferez une idée de cela. Bien évidemment j'étais jeune mais pas si idiot que ça, et j'ai dû me démerder je ne sais pas comment pour me faire amené à Kumo. Par un ninja en mission sans doute, ou même par un caravanier qui devait passer par là! D'ailleurs je ne sais pas combien de temps j'ai passé à me faire des idées à ce sujet-là, en tout cas je devais avoir une sacré imagination, celle d'un môme quoi. Toute fois, je ne devais sans doute pas avoir été assez mignon pour plaire à l'illustre inconnu qui "m'abandonna" alors aux portes de Kumo sans un mot. Lui aussi devait avoir ses raisons, tout comme mes parents d'ailleurs. Je me souviens très bien de la grosse boule dans le ventre que j'avais eu quand j'eût découvert mon village natal et ses espèces de grattes-ciels (qui n'ont toujours pas changés, vive le modernisme!) pour la toute première fois: une vive peur, et le soucis de la survie. Mendier et voler. Voilà ce à quoi ressembla ma vie pendant plus de cinq ans. Vous croyez que c'était digne d'un enfant, ou même d'un homme? "Pensez ce que vous voulez, j'en ai plus rien à cirer!": exactement ce que disait Killer Bee, le mec qui m'a sauvé la vie disait dans sa musique "Bling Bling"( j'en suis même devenu adepte à force).

Killer Bee est ce que l'on appelle un Jinchuuriki, un réceptacle quoi. D'ailleurs il a mit un sacré moment avant de m'en parler le vieux, mais je ne lui en est pas voulu. Après tout, nous avons tous un secret pour le moins pudique non? Je me souviens très bien de notre rencontre. J'avais un peu plus de dix ans, je venais tout juste de voler de quoi me nourrir pendant quelques jours et par chance je n'avais pas été repéré par les marchands. Je m'en souviens comme si c'était hier. C'était d'ailleurs un jour nuageux, pas étonnant quand on habite à Kumo. Je pensais avoir le champs libre, et je me fourrai alors dans un coin, le temps de jouer au morfale, se jetant sans retenue sur sa nourriture. Oui, vous m'avez entendu, je pensais avoir le champ libre! Mais malheureusement (enfin, aujourd'hui je dirais plutôt heureusement) le dénommé Killer Bee me surprit. La rue et la misère m'avaient forgé craintif et je le perçu d'un premier abord comme un danger: je savais très bien ce que l'on faisait aux voleurs et je doutais d'être une exception. J'étais dos au mur, pétrifié et le type s'avança vers moi, l'air inoffensif. Vous ne pouvez pas savoir comme j'avais la trouille bien qu'aujourd'hui je puisse en rire. Le ninja s'accroupit et me tendit une main. Puis il me dit simplement "Allez, donnes-moi le matos p'tit gars et je t'en donne dix fois plus!". Idiot que j'étais je ne compris pas mais mon instinct me dicta de prendre la main de l'homme et de le suivre. C'est ce que je fis. Et par chance j'ai eu raison. Killer Bee avait de bonnes intentions envers les gosses de rues comme moi, tout simplement parce qu'il avait subit la même chose ou presque.

Killer Bee ne m'hébergea pas seulement un jour ou deux. Mais pendant deux ou trois mois. Cela peut très bien vous sembler être un rien, mais il s'arrangea pour me placer dans une institution où l'on formait de jeunes ninjas, tout comme moi orphelins. C'est ici que je fis bon nombre de connaissances et que je développa mon sens de la paranoïa à cause des caleçon qu'on se piquait entre mec. Encore une fois en y repensant c'était plutôt marrant, mais ça me fait bien rire tout compte fait. D'ailleurs, je me souviens que Killer Bee m'apportais des sucettes tous les jours, en cachette bien sûr. D'où vient cette fâcheuse manie d'avoir une sucette toujours fourrée dans la bouche! Ça peut vous sembler loufoque, mais pour quelqu'un de toujours stressé comme moi, c'est un véritable anti-stress et calmant! Cette académie ninja pour jeunes orphelins ne nous formaient pas seulement à l'art ninja, mais aussi à la vie quotidienne, et de temps en temps on nous mettait dans des familles d'accueil pendant un mois maxi. Bien sûr, elles étaient payées pour ça et bien souvent elles n'étaient pas très simpatiques mais c'est grâce à cela que mon flegme se développa en même temps que ma ...paranoïa! Eh ben oui, Killer Bee me donnait toujours mes sucettes en cachette et je devais surveiller sans arrêt mes arrière pour que le chat ou le chien ou même quelqu'un ne nous aperçoive pas. Quelle vie! Et quand il s'agissait de familles de paysans, je passais même mes journées les deux pieds dans le fumier! Eh oui, quelle vie!

Je ne sais pas si ces années passèrent vite ou lentement mais lorsque je fus promu Genin tout changea pour moi: je fus affecté à une équipe et assigné à un jounin, j'accomplis des missions jusqu'à passer avec succès l'examen Chuunin. Bien sûr, je fus considéré comme l'intellectuel voir le génie de ma génération, la "honte" en gros. Alors qu'un gosse aurait éclaté de joie et crié sur tous les toits sa promotions, moi j'essayais de me faire discret, c'était craignos quoi. Plus le Raikage reconnaissait mes "talents" plus je me retrouvais dans des situations à la limite du paranormal. C'est pour cela que j'essayais d'être le moins performant possible, mais le gros problème, c'est la mission elle-même s'arrangeait toujours pour que je sois "performant"! Et cela m'a mené un peu plus tard au rang de Jounin vers les 16 ans. Une raison de plus pour me faire envier d'être un prétendu génie...et pour me charger de missions de plus en plus périlleuses. Malgré cela, je pris vite conscience que chaque mission réussie contribuait à la longévité du village. Je compris que Kumo était un ensemble et non un groupe d'individu.

Village Souhaité: Kumo

~Vous~

Prénom : Wassil
Age : 15
Comment avez vous trouver le forum ? A votre avis
Etes vous actif ? Oui

Validé Anbu De Kumo
+ 3 Expérience

Cordialement, Tobi

» Genshi Kurusawa est dans la Place !
» Petite Finale [3e Place] : Genshi Vs Cloud