~ Le retour Express d'une Légende.

Il avait tout, une famille, des amis, une enfance normal. Enfin, jusqu'à ce jour... Le monde ninja n'avait déjà plus de pitié, les quelques nouvelles nations qui tentait de s'agrandir se faisaient engloutir sous la puissance des plus grande. Rien, aucune pitié, un monde de haine et de folie... Le pays où avait été élevé le jeune homme n'avait rien d'extraordinaire, une petite nation non loin du pays des vagues, contrôlé presque entièrement par son grand père. Cependant, l'envie de puissance et l'envie de meurtre rassembla plusieurs groupes de déserteur dans le seul but de détruire ce village. Le massacre prit lieux très rapidement, exterminant au plus vite chacune des familles présente dans le village. Sauf eux. Le grand père de Keiji demandé très rapidement un pacte de réfugier politique avec Kiri, envoyant ainsi les deux personnes les plus chère à son cœur aux pays de la brume. Keiji et Sa mère firent donc expédié dans ce petit pays, on le froid, la neige et la pluie prennent puissance. Keiji n'avait alors que 4 ans, ne se souvenant que du regard de son père, avide de sentiments sur la place d'armes avant de se faire exécuter par ses compatriote, ne vivant dès lors qu'avec une personne comme famille, ne pouvant s'élever que tout seul... Le jeune homme vécu une véritable enfance dans cette région. Sa vie n'avait aucun sens franc, il n'était qu'une personne civil au milieux d'autres personnes de son age eux aussi civil. Sa passion pour l'art fut toujours plus aiguisé qu'une personne normal, sa passion pour l'art ninja eu la chance se s'accroitre très rapidement, le jeune homme, ne pouvait qu'attendre cette élément qui donnerait finalement un sens à sa propre vie. À l'époque, le 2° Mizukage régné encore, une personne droite et franche, une personne n'ayant pitié que de lui même, honnête et gentille, aimant sa patrie et ses citoyen. Keiji entra à l'académie ninja quatre ans plus tard, sept ans, il avait sept ans lors de son premier cour. L'académie ninja de l'époque avait pour objectif de faire ressortir les personnes les plus puissante d'un lot d'enfant, et d'en faire des machines à tuer, des personnes avide de sentiments ne portant de l'amour que pour ce qu'ils allaient devenir. De toute son enfance, Keiji fut éduqué par ses professeur, ayant pour maître mots « Ta seul famille c'est le pays ». Le jeune homme n'était pas brillant dans son comportement, mais l'était par ses actes ; une personne puissante aimant l'art shinobi et se donnant à fond pour devenir l'un des meilleurs de sa promotion. À ses huit ans, le jeune homme passa Genin, maitrisant parfaitement les bases ninja, contrôlant presque parfaitement son chakra et admirant ces gestes techniques qu'il fallait effectuer sans cesse. Sa mère ? Elle pourrissait, ne fournissant aucun amour à son fils, et ne recevant aucune preuve d'amour ou de sympathie de sa part. Keiji était devenu un monstre à l'age de huit ans. Terrible, c'est vrais, mais tellement bien pour son pays. Il effectua sa première mission à l'âge de huit ans et demi, une mission de simple routine qui, par malheur tourna très mal. L'équipe douze se fit attaquer par des shinobi du pays de la pierre, un pays qui eu toujours l'impression d'être plus puissant qu'eux. La team douze perdit trois de ses membres, ne restant plus que son sensei et lui même, Keiji demanda à son chef de lui apprendre toute ses connaissances, souhaitant la vengeance et la mort, son Senseï accepta naturellement. Les années d'entrainement de Keiji se résumèrent au nombre de trois, il avait donc onze ans lorsque le jeune homme avait le niveau de Juunin. Le senseï de Keiji fit exécuté par ses chefs pour avoir enfreint le règlement, un règlement bien strict ; les shinobi devaient évoluer le plus vite possible, mais dans un cadre particulier. Nous ne devions pas apprendre aux élèves par cours particuliers comme le faisait Konoha et les pays ennemies. Ils tombèrent bien bas, Kiri était à l'apogée de son ridicule, cependant, le Mizukage voulait tester les capacités du jeune homme, un combat serrait organisé contre son fils qui lui, eu l'occasion de subir un entrainement bien spécifique. Du même age que Keiji, d'après ses compatriotes il était du niveau de n'importe quel Juunin de rang spécial. Kiri avait de bonne force militaires pour le futur, seulement, aucun des deux personnages ne devait perdre l'enjeu était grand. Une soif de vaincre chez Keiji, et un prochain trône pour Shinjaï. Le combat fut programmé quelques semaines après le décès de son senseï, cependant, les choses tournaient vraiment mal. Le jeune shinobi devenait fou, ne pouvant se contenir lui même, sa mère tenta de le faire reprendre raison. En vint, la jeune femme subit dans la soirée une agression masqué, mais la plus part des ninjas de la brume en étaient conscient. La seul personne qui en voulait au point de tuer sa mère était Keiji. Aucune preuves, aucune trace prouvant la culpabilité du ninja, celui-ci fit donc gracié par ses confrères, le jeune homme, aussi fou et dangereux qu'il était continué à courir dans ce pays en pleine période de crise. Les jours se succédaient et le combat approchait.

La date du combat fût donc programmé. Keiji allait défier le fils du Second Mizukage le lendemain de son anniversaire, ainsi, ils auraient tout deux onze ans. Keiji étant le plus jeune, il ne pouvait choisir le terrain, mais avait l'avantage de lancer la première attaque. Les règles de Kiri était basé sur la loyauté alors qu'aucun shinobi connaissait ce mot...

L'aube était finalement arrivé, le cœur de notre héros palpitait, le jeune homme sentait monter en lui cette pression, ce sentiment de peur. Si il ne gagnait pas son combat, l'homme ne serrait regardé que comme l'homme qui avait perdu contre le fils du Shinobi le plus fort du pays ; le futur du pays. Le soleil était comme à son habitude caché par ces quelques nuages épais, un vent frais venait s'abattre contre les murs de Keiji, laissant ainsi la chaleur se confondre avec le froid de la ville. La chambre de notre homme était comme à son habitude pleine d'affiche, affiche de contrebande. Kiri était pour lui sa nouvelle nation, il s'était élevé seul, et ce soir, il allait le montrer à Shinjaï. La journée avait du mal à débuter ; comme tout les jours, le soleil se faisait dominer par les élément spécifique à Kiri, le vent et la pluie s'abattait chaque jours de huit heures du matin à dix heures. Terrible routine quand tu nous emporte... Le temps, les minutes presque autant que les heures défilaient comme des vulgaires secondes, Keiji était seul contre tous cette fois.. Seul contre un monde manipulé. Le temps était venu, le jeune homme se rendit une dernière fois au cimetière afin de prêcher son « père » l'homme qui l'avait éduqué et qui lui avait finalement donné cette force. Une heure, une heure au cimetière à se reposer sur sa tombe, un vulgaire tat de terre dominé par deux morceau de bois... Il valait bien plus que sa, il s'était donné pour le bien de son pays, il avait franchi les règles pour le bien de sa nation, portant son espoir en Keiji. Il ne le décevrait surement pas, chose promise, chose dût. Le jeune homme se rendit quelques temps plus tard aux terrain neutre, la où il était prévu de combattre initialement. Les regards porté sur notre héros l'avait déjà abattut, chacun des membres du pays le savait, il allait perdre face à la relève, Keiji était bien trop insouciant, bien trop sur de lui pour gagner un tel match.

Finalement, les rayons du soleil eurent raisons du temps, la pluies s'évacua aussi vite que possible, laissant un terrain humide, mais éclairé. Les nuages eux, c'était désépaissis, ce fit donc un terrain moins sombre, mais humide sur lequel les deux personnages allaient combattre. Le soleil était à son apogée, le jeune homme était en tenu noir, signe de deuil, signe de respect envers son Senseï... Une tenu noir et une ceinture pourpre. Aucun détails ne pouvait échapper aux yeux du publics présent aux alentours, aucun, même le fait que Keiji ne portait pas son bandeau. Le bandeau étant signe de respect, le jeune shinobi l'avait délaissé dans le simple but de montrer aux monde entier que sa place n'était pas ici, qu'il ne devait plus vivre parmi eux. Le temps s'écoulait et le souffle de notre gamin augmenté. Keiji était droit devant l'homme devant lui, le fixant, laissant son souffle s'abattre contre le sol et lever les quelques brins de poussières qui n'était pas submergé par l'eau... Aussitôt, le jeune homme exécuta cette suite de Signe. Un combat vif et acharné... Les deux personnages avaient distinctement le même niveau, même pas les même capacités, ni les même Affinités. Le combat fut rude et passionnant, mais le seul gagnant fut celui qui avait le plus de morale, le plus de haine. Keiji. Cinq heures de lute acharnée, et Keiji sut abattre son adversaire grâce à une technique de Taijutsu. Un simple coup de pied, une chose que n'importe quel ninja sait faire ; cependant, les techniques de Keiji n'avait aucun rapport avec les techniques du Jeune rivale, il contrôlait parfaitement le vent, tendis que Keiji contrôlait parfaitement l'eau. Paradoxe ? Aucun. Le jeune homme avait eu surtout de la chance, savoir que Fûuton ne prenait aucun avantage sur Suiton était très important, savoir que le jeune homme avait comme affinité Principale le Fûuton et qu'il l'utiliserait pour une durée indéterminé dans le combat était un hasard. Mais savoir que Keiji s'était entrainé à la maitrise de son élément principale des jours durant était de la tactiques... Les jours succédèrent, le jeune fils du Second du nom continua sa vie, tendis que Keiji lui, fit regardé comme un tricheur, un homme salissant le nom du village ; regardé essentiellement comme un monstre depuis ce combat, le jeune homme décida à ses douze ans de fuir ce pays. Un pays où le mensonge est roi, un pays ou la propagande est maître mot, un pays ou esclavage rime avec vie. Un pays ou le gouvernement instaure sa propre dictature. Kiri no Kuni.